Cameroun - CAN 2017 - Lions indomptables : Bassogog, Moukandjo et Jacques Zoua à l’infirmerie

Par Wiliam TCHANGO | Cameroon-Info.Net
LIBREVILLE - 15-Jan-2017 - 22h06   50282                      
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CAN 2017: Les Lions a Libreville Wiliam Tchango
Les trois attaquants, tous titulaires lors du match face au Burkina Faso (1-1) n’ont pas participé à la séance de décrassage  de ce dimanche 15 janvier 2017.
Après le nul concédé samedi face au Burkina Faso (1-1) à l’occasion de leur première sortie à la Coupe d’Afrique des Nations Gabon 2017, les Lions indomptables ont eu leur unique séance d’entrainement ce dimanche 15 janvier 2017 au Stade de l’Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS) de Libreville. La session qui a débuté autour de 18 heures et demie a duré environ une heure et 30 minutes, avec le décrassage comme menu essentiel.
 
CAN 2017: Les Lions a Libreville 2 (c) Wiliam Tchango
 
CAN 2017: Les Lions a Libreville 3 (c) Wiliam Tchango
 
 
Elle s’est déroulée sans Christian Bassogog, Benjamin Moukandjo, le capitaine et Jacques Zoua Daogari. Les trois attaquants, tous titulaires face au Burkina Faso sont restés à l’hôtel où ils ont suivi des exercices spécifiques avec l’un des kinésithérapeutes de  l’équipe. D’après Vincent de Paul Atangana, le Team Press Officer de la tanière, Ils trainent de petits bobos contractés face aux étalons. Mais une source proche de la tanière, assure qu’il n’y a nullement lieu de s’inquiéter sur leurs cas. « C’est juste qu’après avoir beaucoup donné contre le Burkina Faso, ils ont été plus éprouvés que les autres », indique-t-elle.
 
CAN 2017: Les Lions a Libreville 4 (c) Wliam Tchango
 
CAN 2017: Les Lions a Libreville 5 (c) Wiliam Tchango
 
 
Le cas de Christian Bassogog semble un peu plus sérieux. Puisque durant la matinée, il a passé plusieurs heures en compagnie du médecin de l’équipe. Un des meilleurs camerounais lors de ce match face au Burkina Faso, il avait  dû quitter ses coéquipiers, un peu plus tôt que prévu, après un choc avec Kouakou Hervé Koffi, le gardien burkinabé.
 
Wiliam Tchango, à Libreville
Auteur:
Wiliam TCHANGO
 @t_b_d
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