Cameroun - Nomination d’Aminatou Ahidjo: «Mme Ahidjo croit en la vision de développement du Président Paul Biya pour ce pays qui est le sien», déclare Grégoire Owona, le Ministre du Travail

Par Josiane Rose NDANGUE | Cameroon-Info.Net
YAOUNDE - 12-Jul-2016 - 13h03   56364                      
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Grégoire Owona Archives
Dans un entretien qu’il a accordé au quotidien Le Jour le Secrétaire Général adjoint du Comité central du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais donne son point de vue sur les sujets d’actualité tels que la libération de Lydienne Eyoum et la situation des autres prisonniers de l’Opération Épervier.

Dans son édition du 12 juillet 2016 le quotidien Le Jour rapporte l’entretien avec Grégoire Owona le Ministre du Travail et de la Sécurité Sociale par ailleurs Secrétaire Général adjoint du Comité central du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC). Le Ministre, tout au long de l’entrevue a livré son point de vue sur les sujets qui font l’actualité au Cameroun. A savoir: la nomination d’Aminatou  Ahidjo comme Présidente du Conseil d’Administration (PCA) du Palais des Congrès de Yaoundé, la libération de Me Lydienne Yen Eyoum et la situation des autres prisonniers de l’Opération Épervier.

Concernant Aminatou Ahidjo et sa nomination le Ministre déclare: «A ma connaissance Mme Ahidjo est revenue au Cameroun et a adhéré au RDPC parce qu’elle croit en la vision de développement du Président Paul Biya pour ce pays qui est le sien, autant qu’il est le vôtre et le mien. Cette nomination est non pas «enfin quelque chose» mais désormais une «fonction publique» sous le Renouveau. Il y’a un début à tout, c’est le début d’une nouvelle expérience administrative et sociopolitique».

Au sujet de la libération de l’avocate Lydienne Yen Eyoum, Grégoire Owona dit: «je salue le Président Paul Biya pour le pardon, donc la mise en liberté de Me Lydienne Eyoum. Mais, je salue aussi la France pour la détermination affichée dans la protection de ses citoyens. Cette remise de peine présidentielle est un acte légal».

A la question du journal de savoir s’il ne faut pas trouver une solution globale pour les prisonniers de l’Opération Epervier et dont la détention est contestée, le Ministre répond: «la responsabilité du Président est connue, en ce sens qu’il a pris l’engagement politique de ne pas laisser des «voleurs à cols blancs» détourner et abuser de la fortune publique. Il appartient à la justice et aux magistrats en charge de ces dossiers de parfaire cette mission qui est déjà bien entamée par ces derniers».

 

 

 

Auteur:
Josiane Rose NDANGUE
 @ljndangueCIN
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