Selon Mutations, de nombreux responsables se souviennent encore des propos tenus par ce promu lors de la grande polémique ayant précédée l’organisation d’un colloque. Celui sur les actions sociales de la première dame, Chantale Biya. Ainsi, «il avait pris fait et cause pour la tenue de cet événement qui avait mobilisé tous les caciques du pouvoir de Yaoundé», rapporte le journal.
En effet, se souvient-on, ce colloque scientifique s’est tenu à Yaoundé du 1er au 3 novembre 2016 sur le thème: «Droits fondamentaux et politiques de solidarité au prisme de l’action sociale de la Première Dame du Cameroun».
Alors, pour Mutations, la nomination de cet enseignant des universités somme comme une récompense du couple présidentiel. «Toutefois, il a le profil de l’emploi. D’ailleurs, sous son magistère comme vice-recteur de l’université de Yaoundé II, les étudiants ont éprouvé une satisfaction. En terme de récompense il n’est pas le seul en avoir bénéficié».
Toujours selon Mutations, la promotion du professeur Daniel Abwa comme secrétaire général de l’université de Yaoundé I rentre dans ce registre. Ce dernier avait pondu une tribune «défensive» en pleine crise anglophone. Il l’avait intitulée: «crise anglophone: le mea culpa des dinausores».
Le nouveau secrétaire général de l’université de Yaoundé I à travers cette tribune venait recadrer les termes de la lettre de démission de M. Solomon Tandeng Muna à la conférence constitutionnelle de 1994. Et, ceux du « testament de Tandeng Muna» publié par certains journaux.