Un mois après le lancement de son premier album, la jeune artiste de 18 ans a présenté son album à la presse, le temps d’un déjeuner de presse samedi dernier.
«On est africain» C’est le titre phare de son premier bébé musical. Un savant makossa à travers lequel elle vante les valeurs du continent africain. Il bat les records (après Ekek’s et Linda Raymonde) des diffusions radio et télé dans le paysage audiovisuel du Cameroun. L’album de six titres a été enregistré au studio STM, à la fondation MUNA.
«Je vous aime» est le titre le plus passionnant de cette œuvre qui semble être un coup de maître. Elle est dédiée à ses parents. La fille du représentant résident Armand Claude Abanda a tenu à travers ce morceau rendre hommage à ses géniteurs qui sont ses principaux soutiens. La mélodie de cette chanson permet aux consommateurs de constater la maturité vocale et ne laisse personne indiffèrent.
Celle dont les fans ont vite fait de surnommer «petite aaliyah» a ébloui les hommes de presse lors du déjeuner de presse de samedi passé. Grâce a une prestation digne d’un spectacle sur la scène de l’Olympia, elle a permis de découvrir ses qualités sur le plan scénique ponctuées des déhanchements soft et électriques avec en bonus un charisme qui lui permet de rafler les suffrages du public.
C’est depuis l’âge de 12 ans que ce jeune prodige s’essaye à ses moments perdus de reprendre les tubes de ses modèles en matière musicale, à l’instar de Patience Dabani, Charlotte Dipanda et bien d’autres qui ont marqué son enfance. L’étudiante au cycle d’ingénieur des travaux informatiques d’IAI adhère à l’âge de 10 ans à la chorale de son établissement. Elle remporte avec elle, plusieurs lauriers, en l’occurrence le prix de « meilleure chorale d’université ». Très vite, elle devient l’un des chantres principaux de ce groupe de musique sacrée grâce à sa voix hors normes.
