Samuel Eto'o et certains membres du Comité exécutif de la Fecafoot Fecafoot
Guibai Gatama, Pierre Semengue, Aboubakar Alim Konaté, François Kouedem, Panthère du Ndé et consorts ont eu gain de cause contre l’exécutif de la Fédération camerounaise de football que dirige Samuel Eto’o fils.
En ce jour de l’Assomption, le cœur n’est pas à la fête à la fédération camerounaise de football (Fecafoot). En fin de matinée, le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rendu public deux verdicts qui sont tombés comme un véritable coup de massue.
Dans la première affaire, Guibai Gatama, la Ligue de football professionnelle du Cameroun (LFPC) présidée par Pierre Semengue, Aboubakar Alim Konaté, François Kouedem et consorts ont eu gain de cause au TAS contre la Fecafoot.
Le journaliste Guibai Gatama contestait son exclusion du Comité exécutif de la Fecafoot, Pierre Semengue contestait la dissolution de la LFPC, François Kouedem contestait son éviction de son poste de président de la Ligue régionale de football de l’Ouest…
Par contre, Guibai Gatama avait demandé l’éjection de Samuel Eto’o fils du poste de président de la Fecafoot à la suite de sa condamnation à 22 mois de prison pour fraude fiscale en Espagne. Il a été débouté par le TAS.
Dans la seconde affaire, la Panthère sportive du Nde, qui contestait sa relégation du championnat d’Elite one pour l’Elite two pour corruption, a aussi eu gain de cause parce que le TAS a constaté que la commission juridictionnelle qui avait pris cette décision n’était pas légale.
En attendant la réaction de la Fecafoot, ces décisions de la plus haute institution judiciaire sportive au monde sont rendues en dernier ressort.
Ci-dessous les différents documents
1ere décision du TAS
2eme décision du TAS
Le communiqué final de l’Assemblée générale de la Fecafoot, à l’origine de la saisine des juridictions sportives.
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